Dans son oeuvre minéralogique, Pline l’Ancien qualifie l’Émeraude du plus beau vert qui soit. C’est d’ailleurs à cette teinte unique, que la pierre sacrée doit sa rareté et son prestige. Occupant une place de taille dans les cultures Inca, Égyptienne et Gréco-Romaine, on accorde habituellement un soin particulier au polissage des gemmes de cet acabit. C’est dans la sobriété la plus sauvage de l’Émeraude, que Suberoque exprime la profonde sincérité de sa délicatesse. Mises à l’honneur sans apparat, nos Émeraudes brutes, brisées dans la roche, dévoilent l’essence naturellement variable du minéral. Qu’elles se gorgent d’un vert mat, impérial et dense, d’une absinthe franche ou d’un pastel de jade, elles conservent toutes une part de mystère, d’une fantaisie précieuse.